Euro fort

Au plan international, la dévaluation baisse le coût des exportations.

Vous devenez plus compétitifs quand vous dévaluez.Vous décrétez que votre monnaie vaut 0,8 $ au lieu de 1, vos produits coûtent 20% moins chers instantanément. Évidement, cela joue dans l’autre sens avec les importations.

Les « vendeurs » adorent la dévaluation, les « acheteurs » la détestent.

Ce que fait la Chine à l’heure actuelle en sous-évaluant sa monnaie pour doper, puis maintenir ses exportations.

Et pourquoi pas nous ? Parce que les financiers ne tolèrent l’Euro que doté d’un fonctionnement similaire au dollar.

On ne voulait pas du dollar en Europe ? Pas de problème si ce sont les même intérêts qui gardent solidement arrimés Euro et Dollar, selon les conditions fixés par les financiers de Francfort ou de la City. Ne vous focalisez pas sur le taux de change, qui est un paramètre parmi d’autre.

Avec une connivence extraordinairement ignorée, nous avons d’un côté des américains qui adorent l’euro fort, qui pénalise les produits chers de l’Europe face aux produits américains pas cher avec leur dollar à 1,4 pour un euro, et de l’autre côté un Jean-Claude Trichet (ou ses successeurs) la BCE qui bloque toute dévaluation de l’Euro.

JC Trichet a fait toutes les écoles supérieurs de l’élite, financé par les impôts. Il a consciencieusement fait ce pourquoi il existe : veiller aux intérêts des gros possédants.

Jean-Claude Trichet (ou ses successeurs) est objectivement un sous-marin de l’économie américaine.

Ou alors ils sont très cons et regrettent la dureté de leurs érections passées en compensant par le chibre monétaire européen. On a les partouzes qu’on peut.

JC avait déjà des problèmes d’érection quand il dirigeait la Banque de France.

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