2013-08-12 Alexandre de Belgique

J’ai reçu ça :

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Salut de Belgique,

Je m’apelle Alexandre et je suis un p’tit chef d’entreprise.  Je peux dire « chef » maintenant, car je viens d’engager mon premier employé il y a seulement 3 mois.

La raison de ce mail, c’est te donner une bonne adresse, au cas où tu ne l’aurais pas déjà, car j’ai l’ai quelques fois posté dans des commentaires sur le même site.

C’est un site d’un de mes compatriotes, il résume bien les faits et son site est aussi un site de travail communautaire.  Je ne m’y suis pas non plus plongé, manque de temps, mais il y aurait toute une série d’ateliers de travail qui m’ont directement fait penser à un aspect de l’utilité de ton site.

http://www.democratiedirecte.be/

Une petite idée avant de te saluer :  Depuis plus de 2 ans je réfléchi, j’aime trouver des solutions…

Je pense qu’il faut qu’à terme, les sites tels que le tien, celui-ci que je te montre en lien, s’unisse aux autres sites similaires des pays européens.  En fait, cela résume une pensée que j’ai eue il y a déjà pas mal de temps, c’est de me dire « ils voulaient l’union européenne …  et bien il vont l’avoir ! »

Je pensais à une nouvelle section dans ton travail, une section Atelier européen, avec un sous-dossier par pays, et des projets de recherche des sites « contestataires », contacts … suivi de partenariat, partage de l’info … et puis des membres de tous côtés/pays traduisent bénévolement dans toutes les langues … en peu de temps les sites s’européanisent car ils deviennent multi-langues et ils se chainent, se renforcent déjà.  Les communautés peuvent déjà se parler, c’est un premier rapprochement très important.  Puis des informaticiens de toute l’europe vont développer des outils gratuits pour les webmaster de tous ces sites dissidents leur permettant de mieux coopérer, communiquer, partage, se répliquer, lancer des alertes.  Ensuite des meta-site référencant toute cette jeune nouvelle presse, accompagnés alors de forum devenus européens.

Une structure est à ériger, c’est un beau projet, qu’en penses-tu ?

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Bonjour,

J’irai voir ton lien dans quelques instants, bien sûr. Heu, non, c’est fait.
Ce site est très techno ! L’angle de vue est presque « trop » avancé : comme dans une randonnée où trois costauds partent loin devant les autres.
Si nous parlons de démocratie, nous ne pouvons pas oublier ceux qui ne comprendrons pas les mots !
Le travail est très intéressant, comme base théorique pour des animateurs, mais pas pour l’électeur de base.
C’est un cours pour profs ! C’est en cela que nos démarches diffèrent.
Je garde ça sous la main, bien sûr. C’est un code de procédure à faire examiner, le moment venu.
Avant cela, j’ai d’abord 60 millions de personnes à convaincre du « pourquoi », le « comment » viendra ensuite.
Se lancer dans l’étude d’un code de procédure référendaire ou électoral quand le public n’en voit pas encore l’intérêt est prématuré.

Je suis toujours ravi de découvrir les « nids » de démocratie sur le web. Et peu importe ce que j’en pense.

Merci d’avoir pris ton temps, et ne te retiens pas d’imaginer une fiche à ta façon, et si tu en es d’accord, pour en faire pondre une par l’équipe du site que tu m’as référencé, il suffit de leur poser les questions :

D’abord « pourquoi » : Donner un thème d’agitation politique, qui sera relayé par tous les participants, donc non spécialistes à priori : une assoc de théâtre de rue, une émission radio, un article de journal.

Penser noblement « grand public ».

Ensuite seulement le « comment » : « Sur un sujet précis, afin d’amener mes concitoyens à reprendre la politique à leur compte, plutôt que de continuer à la sous-traiter à des escrocs :

  1. Que dirais-tu à ta vielle mère et…
  2. A un(e) inconnu(e) dans un ascenseur
  3. A un auditoire rassemblé dans la rue au hasard (donc pas forcément « copain »)
  4. Dans un journal en 5000 signes, puis en 20 000…
  5. Les discussions avec les copains toujours d’accords ne comptent pas. Au mieux, elles permettent de tester les argumentaires.

Selon le schéma :

  1. Attirer l’attention sur un bug du système politique dit « démocratie représentative » par une accroche forcément un peu démagogique (on n’échappe pas à, l’étymologie), qui se relie à un problème concret : loyers, spéculation immobilière, privatisation de biens communs (eau, santé, retraite, énergie, transports ferroviaire, monnaie…), chômage, déclassement, destruction de l’appareil productif, écologie….
  2. Détailler un peu plus pour garder l’attention
  3. Détailler les conséquences réelles : qui y gagne honteusement, qui y perd honteusement, conséquences sociales….
  4. Faire un lien avec la constitution
  5. Indiquer le blocage constitutionnelle et les mauvaises pratiques que celui-ci induit.
  6. Proposer des transformations règlementaires et/ou constitutionnelles.

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