1 – Nous tenons notre rang international dans le classement des brutalités.

2 – La France brille au firmament des nations : elle pille, elle corrompt.

La Démocratie, au mieux considérée comme un champs de volatiles bruyant, peine a présenter la carrure virile qu’exige ses prétentions.

En effet, nous sommes dépendants de ressource extérieures. Pour les obtenir, si possible à bon prix, des réseaux quasi mafieux par les pratiques, dont le cerveau clapotais à l’Elysée, se sont agités.

En gros nous placions nos pantins à la tête des états africains. En échange, bois, pétrole, potasse, et autres bricoles. En échange, des sociétés françaises squattent les bonnes places.

Ça fait beaucoup d’échanges. Des fonds remontent pour financer des élections.

On appelle cela, la « Françafrique ». Cherchez sur Internet.

3 – Puis la France baisse son froc

Depuis quelques temps, la concurrence a débarqué. Les américains, les russes et les chinois. Et  maintenant les roitelets africains, issus de castes de pouvoirs née au sein de l’armée coloniale française, nous tiennent par les génitoires.

Ce sont ces roitelets qui tiennent Total par où déjà ? Et nos gouvernements s’appliquent à réconcilier tout le monde.

En se torchant avec la plus primitive idée de démocratie, et en se mouchant dans les droits de l’homme.

Donc toute notre classe politique rend régulièrement une visite obséquieuse à Bongo. Ou un autre.

Juste pour une conversation entre amis.

Oh pour faire à la fin les mêmes saloperies, mais on a échangé les rôles de langues et de culs.

De telles dispositions laissent une patate chaude entre les mains de tout le monde.

4 – Qu’allons nous faire de cela ?

Il appartient à chacun d’entre vous qui s’en sent capable, de se saisir du sujet.

Parce qu’à l’autre bout, c’est notre approvisionnement en énergie pétrole ou nucléaire, de juteux marchés pour des entreprises très rentables.

Entreprises négocient un accord fiscal, et font légalement bouger leur fric au départ du pays en question, se trouvant là sous la main, sans même que le fisc français ait à le connaitre, mais surtout sans que le fisc du pays dont auquel il est question n’y trouve son compte. C’est donc directement sur le dos des populations de là-bas.

Une assemblée populaire tirée au sort va devoir statuer. Bon. OK.

Réécrire la constitution pour en faire une démocratie, c’est se coltiner ce genre de boulets. Doit bien y avoir des gens un peu au courant pour nous essspliquer.

Cherchez Françafrique sur youtube ou autre, vous trouverez des émissions. Tentez Arte et LCP.